Augmentation des turbo-cancers : Les experts tirent la sonnette d’alarme.

De nouveaux cancers agressifs et fulgurants sont apparus depuis 2021 avec la particularité d’être détectés très tard au stade 4. Certains se demandent s’ils pourraient être liés aux injections Covid. Les témoignages des pathologistes et experts révèlent des liens troublants entre la protéine Spyke, les vaccins Covid et l’augmentation de ces cancers agressifs. Les effets secondaires du vaccin inquiètent, et l’accès à l’information est parfois restreint.

Témoignage du Dr. Ryan Cole, pathologiste, sur cette nouvelle apparition depuis 2021 de ces turbo-cancers ou cancers agressifs

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Leur croissance est complètement hors norme. Ils se reproduisent partout et sous forme accélérée. C’est un type de cancer très récent avec une augmentation de 30 à 40 % de cancer du sein… La protéine Spyke provoque une inflammation profonde, elle active la coagulation, elle active les plaquettes et a des effets néfastes sur de nombreux gènes pour la suppression du cancer. Cette protéine Spyke serait à l’origine du turbo cancer.

Le Dr Naomi Wolf analyse les rapports d’autopsie

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Elle nous explique le rapport d’autopsie n°56 qui apporte la preuve encore une fois d’une arme biologique. Ils ont trouvé des lésions dans tout le corps dans de très nombreux organes, rate, foie, peau, testicules, la protéine Spyke est partout jusque dans l’aorte sur des décès survenus 7 jours à 6 mois après les injections.

Les nanoparticules lipidiques traversent la barrière hémato-encéphalique, un changement de comportement après vaccination est dû à l’inflammation du cerveau par endommagement du cortex préfrontal. Présence de matériaux non identifiés dans les cadavres disséqués, diagnostic confirmé par 8 pathologistes reconnus, images d’extraction de caillots sanguins qui ne sont pas normaux, témoignage d’une victime avec ses explosions de lymphomes cutanés.

Dr Ryan Cole, pathologiste, à l’intérieur de chaque cellule cancéreuse est retrouvée de la protéine Spyke

De nombreux médecins témoignent avoir des patients en rémission depuis 5 ou 6 ans, mais tout d’un coup leur cancer est revenu au stade 4. La panoplie d’effets secondaires que nous observons chez les patients atteints est nombreuse. C’est dû à la suppression des différents mécanismes immunitaires aujourd’hui répertoriée dans les données du CDC (center of disease control, centre de contrôle des maladies USA).

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Sur ces données, nous observons une augmentation massive de turbo cancers d’une année par rapport à l’autre, c’est statistiquement significatif par rapport à avant les injections. Les chiffres bruts augmentent, la ligne de tendance est particulièrement à la hausse.

Témoignage du Dr William Makis, radiologue et oncologue

Il s’exprime sur les 93 médecins morts à la suite de ces vaccinations :

« il y a une évolution fascinante de l’augmentation de cancers agressifs où l’on constate que ce sont les plus jeunes les plus touchés, âgés de 20 à 30/40 ans. »

Cancers très inhabituels, ils se manifestent très tard, au stade 3 ou 4 et ils résistent aux traitements. Les IGG4 (immunoglobine spécifique) sont là pour que l’on ne tombe pas allergique à tout ce à quoi nous sommes confrontés dans la vie de tous les jours. Toutefois, il y aurait aussi une augmentation du taux d’IGG4 qui faciliterait le corps à ignorer les choses anormales comme le développement d’une tumeur.

Il observe aussi une augmentation du cancer du sein avec des tumeurs grossissant de façon très rapide, l’augmentation des IGG4 serait expliquée par la tolérance aux corps étrangers et donc à la perte de la protection par le système immunitaire. Le covid n’est pas la cause de ces symptômes et pathologies, aujourd’hui on sait qu’il circulait en 2019 et que l’augmentation des cancers n’apparaît que depuis quelques mois. Aussi, cette surmortalité ne se voit que dans les pays les plus vaccinés.

Dr Peter Mac Cullough, oncologue

A la question « pourquoi tout le monde n’a pas d’effets secondaires », il répond que les lots de vaccins produits ne sont pas tous les mêmes. Cela a été révélé grâce au travail et à l’article de Schmelling.

Depuis toutes les données de Pfizer et les effets secondaires au Danemark, trois groupes de lots ont été identifiés :

  • Lot 1 : un tiers des personnes a reçu ce vaccin, aucun effet secondaire, ce serait comme avoir reçu du sérum physiologique
  • Lot 2 : deux tiers des personnes vaccinées ont eu quelques effets secondaires modérés, taux d’effets secondaires graves assez faible
  • Lot 3 : 4,2 % de tous les flacons ont un taux d’effets secondaires qui a explosé par la variabilité d’un lot à l’autre de plus de 75 %.
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Il y a un problème de fabrication du produit, soit une hyper concentration d’ARN messager ou de nanoparticules lipidiques ou bien contaminé par de l’ADN-c ou d’autres contaminants. Aujourd’hui, une étude suggère qu’environ 15 % d’Américains souffrent d’une blessure ou d’un handicap suite à vaccination. Depuis le CDC avec Vsafe ou encore le VAERS, toutes les données sont cohérentes dans le monde entier. Le VAERS (Vaccine Adverse Events Reports, base de données des effets secondaires des vaccins aux États-Unis) rapporte en effet plus d’un million d’effets secondaires, dont 21 000 décès confirmés au 27 décembre 2021 et 20 560 myocardites.

Toujours selon le VAERS, les inoculas contre le covid-19 ont accumulé, en un an, plus d’effets secondaires graves que TOUS LES AUTRES VACCINS RÉUNIS EN 34 ANS.

Le Dr Peter Mac Cullough intervient aussi sur les sous- depuis le CDC ou le VAERS (organisme officiel effets secondaires vaccination USA). Les déclarations sont de 30 à 40 fois sous-déclarées.

Pierre Chaillot, statisticien

Sénat et ministère de Santé ont été saisi, ils gardent le silence. La CADA (commission d’accès aux documents administratifs) dont normalement tout citoyen a accès à ses données, freine pour partager ses documents administratifs sur les décès survenus entre les personnes vaccinées/non-vaccinées. Elle envoie un courrier affirmant que ces statistiques n’existent pas : pas de bases de données qui relie le décès à la vaccination ! Il y a là une régression énorme sur le fait d’accéder à l’information.

Josh Striling, expert et analyste des compagnies d’assurances, rapporte ses explications devant le Sénat américain

Un seul graphique démontre le taux de mortalité relatif des personnes vaccinées et non vaccinées et en fonction du nombre de doses.

La conclusion est que les Britanniques qui ont été vaccinés, ont un taux de mortalité supérieur de 26%, dont les personnes âgées de moins de 50 ans qui ont été vaccinées, ont un taux de mortalité supérieur de 49% ! Le pire est avec les personnes qui n’ont pris qu’une seule dose du vaccin qui ont un taux de surmortalité de 145%, ces personnes qui ont pris la première dose concerne 12% de la population.

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Si l’on prend ces chiffres et qu’on les applique aux USA, on obtient environ 600.000 décès supplémentaires par an induits par ces vaccins…

Pierre Chaillot, statisticien

Nous avons pourtant des indicateurs avec les assurances sociales, les hospitalisations etc, et le Ministère de la Santé fait silence, ne regarde rien pour ne pas être confronté à la réalité ou sinon il se défend avec le narratif « corrélation n’est pas causalité ».

Si renseignement fait sur les déclarations d’effets secondaires, la précision dudit renseignement sur la pharmacovigilance ne ferait rien ressortir de statistique. Pour les problèmes cardiaques, ils sont sous détaillés avec péricardites, myocardites etc. Comme peu de gens déclarent et que chacun va déclarer une case différente avec les sous-catégories, les problèmes cardiaques généraux ne ressortent pas.

Les problèmes des femmes avec leurs troubles menstruels sont révélateurs car il ne peut pas y avoir de sous catégories, c’est donc significatif statistiquement et très ennuyeux pour le Ministère de la Santé.

Et le meilleur pour la fin

Albert Bourla, PDG de Pfizer à propos des 43 milliards de dollars pour acheter Seagen

« A l’heure actuelle, 1 personnes sur 3 sera atteinte d’un cancer au cours de sa vie.SEAGEN possède l’une des plus grandes technologies pour combattre le cancer avec l’ADC qui attaque les cellules cancéreuses. Nous pensons soulager le monde de cette maladie dévastatrice. Ce sera un impact financier positif pour Pfizer d’ici 2030 où nous devrions avoir combler 25 milliards, ce qui donne une vision pour nos investisseurs en ayant déjà atteint cet objectif à 80% grâce à cette fusion/acquisition (soit une recette de 10 milliards en 5 ans). Les rendements financiers de Pfizer seront très bons avec un profil de risque très faible. »

Aucune étude ne parle d’un cas de cancer d’une personne sur 3 à venir, d’où sortent ces chiffres annoncés par le PDG de Pfizer, ou dans quel but les annonce-t-il ?

Stéphane Bancel de Moderna est aussi sur le business du cancer et ses nouvelles technologies.